Titre : |
Le Conflit : La femme et la mère |
Type de document : |
Livre |
Auteurs : |
Elisabeth Badinter, Auteur |
Editeur : |
Paris : Le Livre de Poche |
Année de publication : |
2011 |
Collection : |
Le Livre de poche, ISSN 0248-3653 num. 32062 |
Importance : |
220 p. |
Présentation : |
couv ill. en coul |
Format : |
18 x 10 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-15755-7 |
Prix : |
12.00 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Psychologie
|
Index. décimale : |
159 Psychologie / Psychanalyse |
Résumé : |
Trente ans après L'Amour en plus, le naturalisme – qui remet à l'honneur le concept bien usé d'instinct maternel – revient en force.
À force d'entendre répéter qu'une mère doit tout à son enfant, son lait, son temps et son
énergie, il est inévitable que de plus en plus de femmes reculent devant l'obstacle. Si plus d'un quart des Allemandes restent sans enfant, c'est qu'elles trouvent à se réaliser ailleurs que dans la maternité telle qu'on la leur impose. Pour l'heure, les Françaises ont échappé à ce dilemme du tout ou rien. Tiendront-elles tête aux injonctions des « maternalistes » soutenus par les plus respectables institutions ? Jusqu'à quand sauront-elles imposer leurs désirs et leur volonté contre le discours rampant de la culpabilité ? |
Le Conflit : La femme et la mère [Livre] / Elisabeth Badinter, Auteur . - Paris : Le Livre de Poche, 2011 . - 220 p. : couv ill. en coul ; 18 x 10 cm. - ( Le Livre de poche, ISSN 0248-3653; 32062) . ISBN : 978-2-253-15755-7 : 12.00 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Psychologie
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Index. décimale : |
159 Psychologie / Psychanalyse |
Résumé : |
Trente ans après L'Amour en plus, le naturalisme – qui remet à l'honneur le concept bien usé d'instinct maternel – revient en force.
À force d'entendre répéter qu'une mère doit tout à son enfant, son lait, son temps et son
énergie, il est inévitable que de plus en plus de femmes reculent devant l'obstacle. Si plus d'un quart des Allemandes restent sans enfant, c'est qu'elles trouvent à se réaliser ailleurs que dans la maternité telle qu'on la leur impose. Pour l'heure, les Françaises ont échappé à ce dilemme du tout ou rien. Tiendront-elles tête aux injonctions des « maternalistes » soutenus par les plus respectables institutions ? Jusqu'à quand sauront-elles imposer leurs désirs et leur volonté contre le discours rampant de la culpabilité ? |
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